Me Dionne est membre du Barreau du Québec depuis 1975 et a exercé comme Procureur de la Couronne à Alma pendant 27 ans. Il a ensuite agi 7 ans à titre de Procureur Chef – Adjoint aux poursuites criminelles et pénales pour les districts judiciaires de Chicoutimi, Alma et Roberval (Dolbeau – Chibougamau), et ce, jusqu’à sa retraite de service public en août 2010. Il accepte des mandats spéciaux provenant d’institutions publiques et privées.
Il conseille lorsque requis les avocats du bureau en matière criminelle et pénale.
La médiation familiale est un mode de résolution de conflit basé sur la coopération. Il fait appel, comme caractéristique principale, à l’intervention d’un tiers impartial, le médiateur. Celui qui aide les personnes souhaitant mettre un terme à leur vie de couple à élaborer elles-mêmes, dans le cadre d’un règlement à l’amiable, une entente viable et satisfaisante pour chacune. Le médiateur n’a pas de pouvoir décisionnel. Son rôle est d’amener les conjoints à communiquer leurs attentes, leurs besoins et leurs objectifs véritables, pour pouvoir ensuite élaborer et trouver les solutions qui leur conviennent.
Vous pouvez recourir à la médiation dès le moment où vous prenez la décision de la séparation ou du divorce, mais aussi en tout temps par la suite, lorsque survient ou persiste un conflit avec votre ex-conjoint. Les sujets qui peuvent y être abordés sont multiples : la garde des enfants et les droits de visite, l’exercice de l’autorité parentale, le partage des biens et du patrimoine familial, les pensions alimentaires et généralement toute question que soulève une réorganisation familiale.
En cas de séparation ou de divorce, le Ministère de la Justice défraie jusqu’à 5 heures de travail au médiateur accrédité en matière familiale pour les couples qui ont des enfants à charge, et ce, peu importe leurs revenus. Le Ministère défraie également jusqu’à 2 h 30 de médiation pour toutes les révisions de la situation des enfants suivant la première entente. Les couples qui n’ont pas d’enfants à charge, mais qui ont des biens à partager ont droits à 3 heures de médiation gratuite. Dans tous les cas, le tarif pour les heures supplémentaires est régie par l'entente du gouvernement et demeure abordable.